Ce sont les jours où l’on pleure sans raison, et ceux où l’on sourit en culpabilisant.
Ce sont les souvenirs qui réchauffent… et qui déchirent.
Le deuil bouscule, fatigue, isole parfois. Il remet en question le sens, le rythme, les priorités.
Il n’a pas de calendrier, pas de mode d’emploi. Chacun le vit à sa manière, avec ses mots, ou son silence.
Mais au cœur de cette traversée, il y a aussi une force discrète. Celle d’aimer encore. Celle de continuer malgré tout.
Et parfois, un jour, sans prévenir, un peu d’apaisement.